La Ciotat, une ville attractive

Sa baie est entrée, en 2019, dans le Club des plus belles baies du monde ! Autrefois cité industrielle, La Ciotat a su se métamorphoser pour rejoindre les rangs des stations balnéaires de la côte méditerranéenne. Elle est désormais tout aussi séduisante que ses voisines Cassis, Ceyreste ou encore Saint-Cyr-sur-Mer.

Au XIXe siècle, elle était renommée pour ses chantiers navals. C’est d’ailleurs à La Ciotat qu’a été construite une des premières cités ouvrières de France, modifiant résolument son paysage immobilier. À la fermeture des chantiers, au milieu des années 1980, la ville renouvelle ses installations portuaires et se tourne alors vers le tourisme de plaisance. Adoptant en parallèle une forte politique d’urbanisme en faveur du développement des commerces et des établissements de restauration, elle devient très vite une destination phare. Locaux et étrangers y trouvent une qualité de vie appréciable et profitent d’une situation géographique et d’un climat avantageux.

En lien direct et permanent avec l’ensemble des promoteurs de la région, Bonaparte Promotion se positionne en véritable leader de la VEFA à La Ciotat. « Ce qui nous motive, c’est de proposer à nos clients le bien répondant à l’ensemble de leurs critères envies. Leur projet reste au cœur de notre démarche », annonce Vincent Pitaval. Une démarche qui, comme il le précise, est axée sur la promotion de constructions « raisonnables et raisonnées » (uniquement des bâtiments BBC), soucieuses de l’écologie tout autant que du confort et du bien-être. À La Ciotat, de beaux projets sortent ainsi de terre. La demande porte surtout sur des T3, accessibles à partir de 285.000 € et sur des T4 pour lesquels il faut prévoir un budget entre 380.000 et 420.000 €. La volonté de disposer d’un extérieur figure désormais, en période post-confinement, parmi les critères primordiaux. Locaux, Marseillais, primo-accédants ou déjà propriétaires et aussi investisseurs, le profil des acquéreurs est diversifié. Avec un habitat ancien relativement dégradé, le marché du neuf à La Ciotat se calque sur le développement de Marseille et se révèle dynamique, avec de grandes perspectives d’avenir.

Des perspectives que Claude Léonetti de l’agence Barnes Marseille entrevoit également avec enthousiasme : « La Ciotat est en plein essor. Suite à la rénovation dynamique de la ville, elle a acquis un nouveau statut, celui de station balnéaire. Elle offre des opportunités immobilières vraiment intéressantes, avec notamment de très belles villas plus accessibles que leurs homologues de Cassis ». Spécialisée dans les villas haut de gamme, l’agence enregistre une majorité de demandes « vue mer ». En plus du panorama, les acquéreurs, que ce soit en principal ou en secondaire, apprécient le caractère moderne, les grandes ouvertures sur l’extérieur, la présence d’une piscine et, si possible, la proximité des plages. Les prix ? Il faut compter entre 1,4 M € et 2,5 M € selon l’emplacement et les prestations. Les quartiers de Saint-Jean, Fontsainte, Sainte-Croix, le domaine du Cap Liouquet et Ceyreste, côté La Ciotat, figurent bien entendu parmi les plus prisés eu égard à leur situation privilégiée.